Constamment, Jorj Morin crée en utilisant des techniques et des supports variés qui l’obligent à résoudre des difficultés et ainsi à inventer : « Peintre, graveur, cartonnier de tapisseries, mosaïste, Jorj Morin croit aux vertus de l’expérience ». René Déroudille, à Lyon, et plusieurs autres critiques ont ainsi souvent souligné l’enrichissement produit par ces ruptures, contribuant à façonner au long des années une œuvre à la fois multiple et cohérente.
De nombreuses expositions personnelles, en France et à l’étranger, ont fait connaître son œuvre. On soulignera ici la rétrospective de 1975 au musée des Beaux-arts de Nantes, et celle d’Angers en 1992 au musée Jean Lurçat.
Jorj Morin est décédé à La Possonnière en mai 1995.


Jorj Morin à la galerie Convergence, Nantes.